L'auteur : Yvon Le Men
Le troisième livre de la trilogie d’Yvon Le Men : Les continents sont des radeaux perdus
Le mot de l’éditeur :
Avec Le poids d’un nuage, précédent volume de la trilogie Les continents sont des radeaux perdus, le poète découvrait la carte du monde par la peinture et la littérature. Avec
Un cri fendu en mille, il nous parle de la découverte physique, sensible, amoureuse de notre planète. Il ne s’agit plus de rêver le monde, il faut le parcourir. Les premières destinations nous entraînent en Allemagne, en Italie, en Roumanie, à Lisbonne. Puis viennent les voyages au long cours, autour du mont Liban, en Israël, à Bamako, en Chine, sur le plateau tibétain, en Haïti ou au Brésil. D’un pays à l’autre,un même désir d’étreindre le monde, une même soif de rencontres, une même propension à se penser soi-même comme un autre. Un carnet de voyages, au cœur du monde, à travers soi. Et l’assurance, pour vous qui entrez dans ce livre, d’un merveilleux voyage immobile.
Extrait :
« Où sont passés
les livres
lus
les montagnes
grimpées
les étoiles
contemplées
les villes
parcourues
les fleuves longés
et traversés
par toi
tout au long de ta vie »
La presse en parle :
France Inter – Boomerang, Augustin Trapenard
RFI – Vous m'en direz des nouvelles !, Jean-François Cadet
Chacun des 41 poèmes de ce 3e tome se lit comme une petite nouvelle. C’est touchant et accessible. Yvon Le Men en est convaincu : « La poésie, même si c’est pas lu et que tout le monde s’en fout, c’est la langue universelle.
Ouest France – Cécile Kernivinen