L'autrice : Dahlia Ravikovitch
Traduit de l'hébreu par Michel Eckhard Elial
Postface de Sabine Huynh
Le mot de l’éditeur :
« Ces étincelles de lumière dans l’obscure matière... » A-t-on jamais vu femme poète évoquer avec tant d’ardeur le clair-obscur de la vie ? L’enfance brisée et l’espérance vibrante. Les drames de la guerre et le désir de paix. L’effondrement personnel et la joie. L’intime et l’universel. Le goût de l’atemporalité biblique et le caractère fugace du vivant. Pour autant, la poésie de Dahlia Ravikovitch habille de clarté l’obscurité fondamentale de l’existence humaine, cherche l’or dans la boue et tente de dompter la violence du monde par la douceur des mots. Ses poèmes touchent parce qu’ils s’enracinent dans une fragilité. Et s’ils portent au loin c’est que leur auteure, féministe et militante, a su les faire glisser sur le fil du rasoir de l’Histoire. Je suis heureux et fier d’être le premier éditeur francophone à publier la poésie de cette voix majeure des lettres hébraïques.
Extrait :
« Les choses vraiment belles
ne se trouvent pas dehors
mais souvent à l’intérieur d’une pièce
quand les portes sont fermées
et les volets tirés. »
La presse en parle :
Alexandre Bord – Addict-Culture, Mort à la poésie